Alissa Margulis, violon
The Guardian describes Alissa Margulis’ playing as “exceptional“, Ivry Gitlis praises it as “a revelation” and Martha Argerich calls her a “strong musical personality”. Appreciated for her expressive and very emotional performances, Alissa Margulis regularly plays in important concert halls such as the Berlin Philharmony, the Carnegie Hall, the Kennedy Center, the Tchaikovsky Hall Moscow, Palacio de Bellas Artes in Mexico City, the Palais des Beaux Arts in Brussels, the Cologne Philharmony, the Vienna Musikverein, Sumida Triphony Hall Tokyo, the Sage Gateshead, the Tonhalle Zurich and the St. Petersburg Philharmonic Hall.
Born in Germany into a family of Russian musicians, Alissa Margulis studied in Cologne with Zakhar Bron, in Brussels with Augustin Dumay and in Vienna with Pavel Vernikov. She won numerous prizes at international violin competiitons and was awarded with the “Pro Europa” prize of the European Arts Foundation which was presented to her by Daniel Barenboim in Berlin. She made her first public appearance at the age of seven with the Budapest Soloists and has performed since then with numerous orchestras such as the English Chamber Orchestra, New Japan Philharmonic Orchestra, Orchestre National d’Ile de France, New Russia Orchestra, Orchestra Sinfonica di Milano Giuseppe Verdi, Orchestra della Svizzera italiana, Bilkent Orchestra Ankara, Beethoven Orchestra Bonn, Belgian National Orchestra, the Philharmonic Orchestras of Kiev, Skopje, Ljubljana, Minsk and Novosibirsk, the Vienna Chamber Orchestra, the Royal Northern Sinfonia, the Moscow Soloists, and the Kremerata Baltica, amongst many others.
Alissa Margulis worked together with famous conductors: Ivor Bolton, Jacques Mercier, Arnold Katz, Jacek Kaspszyk, Dmitry Liss, Jaap van Zweden, Enrique Mazzola, Daniel Raiskin, Fabrice Bollon, Stefan Vladar, François-Xavier Roth, Lars Vogt, Howard Griffiths, Stanislav Kochanovsky, Hubert Soudant, Yuri Bashmet, Gidon Kremer, Christian Arming, Augustin Dumay, Mikko Franck and Gerd Albrecht to name just a few of them. Besides her solo career Alissa Margulis is an enthusiastic chamber music player and collaborates with artists such as Martha Argerich, Yuri Bashmet, David Geringas, Ivry Gitlis, Gidon Kremer, Bruno Giuranna, Mischa Maisky, Gabriela Montero, Jean-Guihen Queyras, Liana Issakadze, Alexandre Tharaud, Stephen Kovacevich, Alexander Lonquich, Polina Leschenko, Paul Badura-
Skoda and Lars Vogt.
She further appeared at various Festivals: at the Enescu Festival Bucharest, Jerusalem Chamber Music Festival, the Menuhin Festival Gstaad, in Davos, Tours, Stravanger Festival, at the Mozartwoche Salzburg, “Spannungen”-Festival in Heimbach, “Progetto” Martha Argerich Festival in Lugano, Schleswig-Holstein Festival, Maggio Musicale Fiorentino, Sotshi Winter Arts Festival and Verbier Festival.
Her discography includes more than than a dozen CDs at labels such as EMI Classics, Oehms, Novalis, Avanti Classic and CAvi. Notalbly two of the six EMI Classics releases of the „Martha Argerich and Friends“ series received a GRAMMY nomination, several others won the Diapason d‘or. She recorded repertoire by Mozart, Shostakovich, Enescu, Beethoven, Messiaen and others as well as the complete music for violin and piano by Franz Liszt. She recorded Piazzolla’s seasons and took part in an all Klezmer recording alongside musicians such as Myriam Fuks, Roby Lakatos, Evgeny Kissin, Polina Leschenko and Mischa Maisky. Alissa Margulis will be featured in another live recording of chamber music performed at the Progetto Martha Argerich, a 2016 release by Warner Classics.
This season she plays concerts in Germany, Austria, Belgium, Greece, Russia, Luxembourg, Lebanon, South Africa, Aruba, Malta, the Netherlands, Switzerland, the USA, Italy, France at venues such as the Philharmonie de Paris, the Tchaikovsky Hall Moscow and the Verbier Festival, among many
Alexander BUZLOV, violoncelle
Alexander Buzlov est l’un des plus brillants et plus talentueux violoncellistes de cette jeune génération de musiciens russes. Le New-York Times écrit à son sujet : « Buzlov est un violoncelliste provenant de la vraie tradition russe, qui possède un véritable don pour faire résonner son instrument et qui enchante son public avec ce son unique ». Alexander Buzlov remporte en 2010 le Grand Prix et le Prix du public lors du Concours Emanuel-Feuermann de Berlin et vient de faire ses débuts à la Philharmonie de Berlin avec les Variations sur un thème rococo de Tchaïkovski sous la baguette de Yuri Bashmet. Il s’était déjà illustré lors du 13e Concours International Tchaïkovski de Moscou (2007) en remportant médaille d’argent, Prix spécial de la Fondation Rostropovitch et Prix spécial pour la meilleure interprétation de Tchaïkovski.
En octobre 2008, il finit deuxième du 63e Concours International de Genève. Cette récompense vient s’ajouter à une liste déjà longue : Grand Prix « Mozart 96 » à Monte Carlo, Grand Prix « Virtuoses du XXIe siècle » à Moscou en 1997, vainqueur des concours « Young Concert Artist » de Leipzig et New York en 2001, Premier Prix et Prix du public aux Jeunesses musicales de Belgrade en 2005, 2e Prix du Concours International de l’ARD (Munich) la même année…
Alexander Buzlov s’est abondamment produit en Russie et à l’étranger. Il estapparu en tant que soliste aux côtés de nombreuses formations, parmi lesquelles l’Orchestre du Théâtre Mariinsky, l’Orchestre Symphonique «Novaya Rossiya », l’Orchestre Symphonique de la Fédération de Russie, l’Orchestre National de Russie, Les Solistes de Moscou, l’Orchestre de Chambre de Munich, l’Orchestre Symphonique de la Radio Bavaroise, l’Orchestre Symphonique Tchaïkovski de la Radio de Moscou. Il a travaillé avec des chefs comme Valery Gergiev, Yuri Bashmet, Vladimir Spivakov,
Leonard Slatkin, Thomas Sanderling, Yakov Kerizberg, Emil Tabakov, Michiyoshi Inoue. Il a également collaboré avec plusieurs phalanges américaines. Alexander Buzlov a fait ses débuts au Carnegie Hall de New York en février 2005, et s’est produit en mai de la même année au Lincoln Center. La musique de chambre tient une place importante dans sa carrière, et il est apparu en récital aux côtés de Martha Argerich, Yuri Bashmet, Vadim Repin, Denis Matsuev, Natalia Gutman, Julian Rachlin, Alexeï Lyubimov, Tatjana Grindenko et bien d’autres. Alexander Buzlov a participé à de nombreux festivals internationaux. Il s’est également produit en concert pour la radio et la télévision russes, et a participé à divers programmes sur les ondes allemandes, suisses, françaises, états-uniennes et autrichiennes.
Consacré à Brahms, Beethoven et Schumann, son premier enregistrement est paru en 2005.
Né à Moscou en 1983, Alexander Buzlov sort diplômé du Conservatoire de Moscou, où il a travaillé sous l’égide de Natalia Gutman, en 2006. Il s’est vu octroyer au cours de sa formation plusieurs bourses d’études de la part de la Fondation Russe pour les Arts du Spectacle, la Fondation Mstislav Rostropovitch, la Fondation Vladimir Spivakov, la Fondation Guzik entre autres. Il enseigne actuellement au Conservatoire de Moscou, où il est également assistant de Natalia Gutman. Alexander Buzlov donne des masterclasses en Russie, aux États-Unis et en Europe.
Depuis 2005, Max Zorin exerce en qualité de professeur de violon et de musique de chambre à l’université de Penn State aux Etats-Unis. Partageant sa vie entre la France et les États-Unis, Max Zorin se produit sur des scènes prestigieuses telles que l’Alice Tully Hall à New York, et dans les festivals de musique d’Aspen, de Luzerne, de Summit, de Penns Woods. En outre, il partage des performances de soliste aux cotés d’artistes de renom comme Maxim Vengerov et Didier Lockwood. On l’entend aussi sur différentes télévisions et radios internationales. À l’étranger, il s’est notamment produit à l’université de Tel-Aviv, au Grand Hall du Conservatoire de Moscou et à la Salle Philharmonique d’Odessa en Ukraine. Chambriste reconnu, Max Zorin a été sollicité par le Philadelphia Piano Quartet, le Parker String Quartet et a collaboré avec des artistes comme les violonistes Sergiu Schwartz et Susanne Hou, le bassiste Thomas Martin et l’altiste Martha Katz (Cleveland String Quartet). Son disque « French Touch » a récemment fait l’unanimité auprès de la presse internationale : « Max Zorin est un nom à retenir ; c’est tout simplement un interprète magnifique » STRINGS MAGAZINE
Né en Israël, Max a commencé l’étude du violon avec son père à l’âge de cinq ans. À l’âge de 17 ans il remporte le Premier Prix du Concours International de Corpus Christy (USA). Il est diplômé de la Juilliard School, de l’université de Yale et est titulaire d’un doctorat de l’université de Stony Brook de New-York. Il a assisté Dorothy De Lay à la Juilliard School et tient régulièrement des master class au sein de différentes institutions musicales dans le monde parmi lesquelles la Royal Academy of Music de Londres (UK), le Conservatoire National de Thessalonique (Grèce), l’école Stolarsky d’Odessa (Ukraine), la Columbus State University (USA)…
Nina commence ses études de violon à 6 ans. Premier prix du concours de violon de Lempdes (France), elle obtient à 15 ans le prix du conservatoire de Limoges. Admise au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Lyon dans la classe de Vladimir Nemtanu et Kasimiertz Olechowski, Nina obtient son Master de violon en 2015.
Nina travaille régulièrement dans les grands orchestres français : Orchestre National Bordeaux Aquitaine, Orchestre National de Lyon, Orchestre des Pays de Savoie, Orchestre National d’Ile de France, Opéra de Limoges … Elle se produit également en tant que soliste et chambriste au Grand théâtre de Bordeaux, à la salle Molière de Lyon, mais aussi en tournée en Argentine, en Allemagne, en Italie, en République Tchèque, en Russie, au Brésil, aux Etats-Unis…
Parallèlement à ses activités classiques, elle a participé à de nombreux projets explorant divers univers musicaux. Ainsi, elle joue avec les groupes Fire Breizh (rock celtique), le Trio Argentino (folklore argentin) mais aussi la troupe espagnole de flamenco Al Andalus. Ces formations l’amèneront à se produire à travers la France, et notamment au Bataclan, l’amphi 3000 à Lyon, lors des festivals de Musique de Belfort, Swing 41 à Salbris, Jazz en liberté à Andernos, Juste pour rire à Nantes, Festival Jazz in Sanguinet…
Titulaire du Certificat d’Aptitude, Nina enseigne depuis 2016 au Conservatoire Régional du Grand Chalon.
Après ses premiers prix de violon et de musique de chambre au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, Suzanne Marie se perfectionne au Conservatoire Royal de Bruxelles auprès d’Igor Oïstrakh. Elle travaille également auprès de grands maîtres tels que Thomas Brandis, Philip Hirshorn ou encore Viktor Liberman. En 1999, elle est demi-finaliste du concours Long-Thibaud à Paris.
Titulaire du Certificat d’Aptitude de violon, elle enseigne actuellement au Conservatoire à Rayonnement Régional de St-Maur-des-Fossés (94) et au Conservatoire à Rayonnement Départemental de St-Germain-en-Laye (78).
Membre de 1995 à 2002 de l’orchestre de chambre Jean-François Paillard, puis de 2001 à 2009 de l’Ensemble Hélios (flûte et trio à cordes), elle s’est produite dans de prestigieux festivals en France et à l’étranger (Aujourd’hui Musiques à Perpignan, Folle Journée de Nantes, Orangerie de Sceaux, Flâneries Musiacles de Reims, Festival d’automne de Moscou, Suntory Hall à Tokyo…). Elle a également avec cet Ensemble enregistré trois disques et réalisé plus de vingt créations d’œuvres qui leur sont dédiées (Bacri, Tosi, Finzi, Damase, Hersant, Ibarrondo…). Elle fait maintenant partie de l’Ensemble Cordélia (trio à cordes) et se produit régulièrement en musique de chambre dans diverses formations ou en soliste (concertos de Beethoven, de Brahms, Quatre Saisons de Vivaldi…).
Né en 1986, l’altiste ukrainien Andrii Malakhov a fait ses études d’abord en violon, puis en alto à l’Ecole Spécialisée de Musique Lyssenko à Kiev. Ensuite, il rentre à l’Académie Nationale de musique de l’Ukraine Tchaikovski, ou il étudie dans la classe de Sergey Kulakov, élève du père de l’école russe d’alto Vadim Borissovski et obtient, en 2009, un diplôme avec mention. En 2011 il obtient le grade de Master avec la mention « Très bien » au CNSM de Paris dans la classe du célèbre altiste-concertiste Gérard Caussé.
Andrii Malakhov est lauréat des concours internationaux en Ukraine, Slovaquie et Finlande. Il s’est produit en tant que soliste et chambriste en Ukraine, Russie, France, Allemagne, Autriche, Finlande, Suisse, Pologne, Pays-Bas, Biélorussie, Kazakhstan, etc. Il est l’auteur de nombreuses créations ukrainiennes et mondiales, à citer la création ukrainienne de « Tabula Rasa » de Arvo Pärt en version pour violon, alto et cordes avec Roman Mints au violon et New Era Orchestra dirigé par Tetiana Kalinichenko. Il a participé aux master-classes de plusieurs musiciens de renommée : Paul Silverthorne, Maxim Vengerov, Miguel da Silva, Veronika Hagen, etc
Passionné de musique de chambre, il joue dans diverses formations lors de nombreux festivals, à citer Zeist Music Days (Pays-Bas), Rencontres Musicales Internationales des Graves, Cully Classique (Suisse), où il partage la scène avec des grands musiciens, tels que Henri Demarquette, Annick Roussin, Valérie Aimard…
Dans le domaine de la musique contemporaine Andrii Malakhov travaille de manière permanente avec l’Ensemble Nostri Temporis (Kiev ; nombreuses créations mondiales et ukrainiennes, participation aux festivals internationaux) et Le Balcon (Paris ; collaboration avec les compositeurs Pierre Boulez, Michaël Levinas, Pierre Mariétan, l’altiste Christophe Desjardins, etc).
Depuis 2016 Andrei Malakhov – altist dans la formation Quatuor Elysée.
Lauréat de nombreux concours internationaux comme Bucarest, Florence, Trapani, Pörtschach en Autriche, Douai ou Guérande, Matthieu Lejeune se produit régulièrement en soliste, en duo (Duo Le Cann-Lejeune), au sein du Trio Una Corda, et dans d’autres formations prestigieuses (Ensemble Intercontemporain, Ensemble Multilatérale, Galliano Septet…). Ses concerts l’ont amené en Europe, aux Etats-Unis, en Scandinavie, au Moyen-Orient, en Afrique. Passionné de rencontres entre les arts, il a créé plusieurs spectacles mêlant danse, théâtre et musique notamment avec la compagnie Arcal (Ni l’un ni l’autre, Les Epoux). Il a partagé la scène avec Alexandre Brussilovsky, Alexandre Tharaud, Eric-Maria Couturier, François Salque, Alain Brunier, Romano Pallottini, Sonia Wieder-Atherton. Sa discographie comprend plusieurs enregistrements chez Maguelone, Naïve, Triton et Quantum.
Après trois riches années dans la classe de Roland Pidoux au CNSM de Paris, il s’est vu décerner un premier Prix à l’unanimité en violoncelle et musique de chambre, avant d’intégrer le cycle de Perfectionnement dans ces deux disciplines. Lauréat de la Fondation Sasakawa, il a étudié deux années dans la classe de renommée internationale de Frans Helmerson à la Hochschule de Cologne, et a obtenu le diplôme de Konzertexam. Il s’est également enrichi auprès d’autres personnalités du monde musical telles Lynn Harrell (Verbier Festival & Academy), Bernard Greenhouse, Daria Hovora, Maurice Bourgue, Alain Meunier, Jorge Chaminé, André Gorog, Arto Noras.
Matthieu Lejeune a toujours tenu à équilibrer son activité entre interprétation et pédagogie. Titulaire du Certificat d’Aptitude, il est actuellement professeur au Conservatoire à Rayonnement Régional de Saint-Maur-des-Fossés. Il a également enseigné aux côtés de Philippe Muller au CRD d’Aulnay-sous-Bois, et participe à plusieurs académies internationales. Les conservatoires départementaux, régionaux et supérieurs l’invitent régulièrement dans leurs jurys et nombre de ses élèves ont été admis dans les grandes écoles européennes (CNSM de Paris, de Lyon, HEM de Genève, Conservatoire Royal de Bruxelles Hochschule de Cologne, Freiburg).
Lauréat de plusieurs concours dont le Concours International d’Arcachon (1999) et celui de la ville de Paris (1994), Vincent Balse a débuté sa carrière à l’âge de huit ans. Etant très apprécié, il est devenu rapidement un pianiste très recherché. Il s’est produit sur de nombreuses scènes françaises et européennes : dans les plus grandes salles parisiennes (Théâtre des Champs Elysées, Salle Pleyel, Salle Cortot), mais également sur l’ensemble du territoire et notamment au Grand-Théâtre de Bordeaux, ville d’où il est originaire. Il s’est également produit à plusieurs reprises en Espagne (Saint-Sébastien, Tarragone, Malaga, Barcelone), en Italie (Brescia, Sienne), en Angleterre (Londres) ainsi qu’en Belgique (Dinant). Depuis quelques années, il a entamé sa carrière au Japon (Tiarakoto Hall de Tokyo et Culport Hall à Kochi) ainsi qu’outre-atlantique, dans les villes de New York, Santa Barbara, Los Angeles, San Francisco, Phoenix, et La Nouvelle Orléans. Vincent Balse s’est distingué en recevant les honneurs du maire de la ville pour sa performance avec l’orchestre « Louisiana Philarmonic Orchestra » dans le fameux « Orpheum theater ». Il y est régulièrement invité pour donner des master classes (Nocca, Dillard university, Bimsi).
Plus récemment on a pu l’entendre jouer aux côtés du violoniste Maxim Vengerov, du Fine Arts Quartet ainsi que du trompetiste Wynton Marsalis. La discographie de Vincent Balse comporte notamment un premier album solo enregisté aux Etats- Unis en 2002 ainsi qu’un disque avec le saxophoniste Julien Petit, La Escapada, sorti et distribué par Lyrinx en 2005. Chambriste reconnu, il fait partie du groupe « Langage Tango » dont le deuxième album, La Ventana, vient de paraître. Musicien passionné et brillant pédagogue, Vincent Balse a été professeur au Luzerne Music Center dans l’état de New York et enseigne depuis trois ans aux Rencontres Musicales Internationales des Graves. Un Album enregistré avec la violoniste canadienne Susanne Hou, Fantasy, est disponible depuis l’été 2007. Pianiste dès son plus jeune âge, Vincent Balse fut formé par Zoya Zorin. Il est diplômé de l’académie de Sienne en Italie ainsi que du conservatoire de Bordeaux où il obtient une médaille d’or avec félicitations du jury ainsi qu’un premier prix de musique de chambre. En 2002, c’est avec un premier prix de piano et de musique de chambre qu’il sort du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris après avoir étudié avec Nicholas Angelich, Christian Ivaldi et Alain Meunier. Il y étudie également l’écriture et la direction d’orchestre. Depuis quelques années, Vincent Balse partage sa vie entre Paris et New York où il est sorti diplômé de la Juilliard School avec un Master’s degree (troisième cycle) dans la classe de piano de Jerome Lowenthal.
Issue de l’école française du piano, Emmanuelle Le Cann affirme également son attachement à la pédagogie hongroise, ainsi qu’à l’école russe. Si son parcours lui a permis de s’enrichir auprès de pianistes aux personnalités très contrastées (V.Perlemuter, P.Devoyon, J-C Pennetier, L. Naoumov, A. Gorog, I. Laszko, C. Paraschos), elle considère comme tout aussi capitale sa rencontre avec de grands musiciens qui ont beaucoup influencé sa vision artistique (Roland Pidoux, Graciane Finzi, Frans Helmerson, David Walter ou Jorge Chaminé). Elle se produit en soliste (Orchestre National de Lille, Orchestre Paul Kuentz), à l’occasion de divers festivals, mais aussi dans de prestigieuses salles comme la Salle Pleyel ou le Royal Festival Hall à Londres. Elle a partagé la scène avec Alexandre Brussilovski, Pieter Wispelwey, Emmanuelle Bertrand, Valérie Aimard, Eric-Maria Couturier, Claire Merlet ou encore Aviv Quartet pour le quintette de Chostakovitch en 2015. Elle a joué en Europe, aux Etats-Unis, au Moyen-Orient, en Afrique. Son disque Gershwin and his French friends chez Arion-Verany a reçu les éloges du Monde de la Musique.
Dotée d’une solide formation en Bretagne chez Gérard Gaugué et Pierre Froment, elle intègre le CNSM de Paris dans la classe d’Alain Planès et Hortense Cartier-Bresson. Nantie de son premier prix de piano et de musique de chambre (classe de Daria Hovora), elle fait deux cycles de perfectionnement en pédagogie et musique de chambre. Puis elle suit les cours de Joan Havill à la GuildHall School de Londres, et remporte le Concours international TWYICA.
Depuis toujours passionnée de musique de chambre, elle est membre du Duo Le Cann Lejeune, et du Trio Una Corda (Agence music-et-talent, CD Russes dans l’âme) et elle a remporté de nombreux concours internationaux avec ces deux formations : Concours Brahms en Autriche, Vittorio Gui de Florence, Trapani en Sicile, Musique Française à Guérande. Depuis cette année, elle fait partie du nouvel ensemble Musica Universalis, ensemble qui réunit autour de musiques contemporaines, des artistes reconnus tant pour leurs qualités d’interprètes que pour leur sens pédagogique envers les jeunes générations.
Titulaire du Certificat d’Aptitude, Emmanuelle Le Cann est actuellement professeur-coordinatrice du Département Piano au CRD de Beauvais. Elle participe régulièrement à des Académies telles Musicalta en Alsace ou Musique en Graves près de Bordeaux. Elle est régulièrement sollicitée pour des jurys dans les grands conservatoires français : CRR de Tours, Saint-Maur-des-Fossés, Cergy-Pontoise, CRD de Bobigny, Aulnay-sous-Bois… Elle a également été membre de jury du XXIIème Concours international Johannes Brahms en Autriche, en 2015.
Née à Osaka au Japon, elle commence le piano dès l’âge de quatre ans avec sa mère pianiste, puis devient l’élève de Nobuyosi Kato jusqu’à l’obtention du diplôme du Lycée Supérieur de Musique de Toho-Gakuen. De cette première période « japonaise », on retient notamment l’interprétation à l’âge de quinze ans du deuxième concerto de Chopin avec le New City Philharmony de Tokyo. Elle choisit ensuite de se tourner vers le pays dont elle rêve depuis son enfance : la France. Elle s’installe à Paris en 1996 et accède directement au Conservatoire Supérieur de Paris dans la classe d’Olivier Gardon où elle obtient le Premier prix à l’unanimité en 1997.
S’ouvre alors à elle les portes du Conservatoire National Supérieur de Musique (CNSM) de Paris où elle décroche des prix en piano (en 2002) avec Georges Pludermacher, Claire Désert, François-Frédéric Guy, et en musique de chambre avec Christian Ivaldi et Itamar Golan. Elle poursuit en perfectionnement piano au CNSM de Lyon avec Géry Moutier et complète sa formation en musique de chambre avec Paul Meyer et Eric Le Sage. A partir de 2004 et sa rencontre avec Patrick Cohen, elle développe sa passion pour les instruments historiques que sont le piano-forte, le piano romantique et le clavicorde.
Elle est lauréate de plusieurs concours internationaux et reçoit le parrainage de l’office culturel du Japon entre 2003 et 2005.
Elle donne régulièrement des concerts comme soliste ou chambriste en France, au Japon et à l’étranger. On l’a entendu en direct sur les ondes de France Musique lors d’une rencontre avec Aldo Ciccolini à Montpellier. On l’a également vu jouer plusieurs fois au côté de Paul Meyer ou Patrick Cohen. Elle s’est produite sur plusieurs scènes renommées : Opéra de Lyon, Théâtre Mogador, festivals “Piano Passion” ou “Musikalia”, Auditorium de Lyon où elle donne le triple concerto de Beethoven avec l’Orchestre National de Lyon sous la direction de Ludovic Morlot ou le premier concerto de Tchaïkovski avec l’Orchestre du CNSM de Lyon sous la direction de Peter Csaba. Mais encore l’Esplanade de Saint-Etienne avec l’Orchestre Symphonique de Saint-Etienne sous la direction de Martin Lebel. Elle s’ouvre aussi à la création contemporaine avec le spectacle chorégraphique “L’intrus” sous la direction de Jean-Marie Adrien.
En parallèle à sa carrière d’interprète, elle exerce le métier de pianiste accompagnatrice au CNSM de Lyon puis aux Conservatoires du VIIème et XVIème arrondissements de Paris.
Olivier Pierre-Vergnaud, clarinettiste, commence ses études musicales au CNR de Limoges où il obtient en 1991 une médaille d’Or à l’unanimité avec les félicitations de jury.
Il les poursuit au CNR de Paris ; une médaille d’or, puis un prix de perfectionnement récompensent deux années d’études. Puis il est admis au C.N.S.M de Paris dans la classe de Michel Arrignon où il y obtient un 1er prix de clarinette et un diplôme de formation supérieure mention TB. Titulaire du Certificat d’Aptitude aux fonctions de professeur de clarinette, il enseigne son instrument aux conservatoires du VIème arrondissement à Paris et au C.R.D de Meudon.
Parallèlement à son activité de professeur, il a l’occasion de jouer avec divers orchestres, (Opéra National de Paris), orchestre des concerts Lamoureux, orchestre d(‘Auvergne, la Grande Ecurie et la chambre du Roy…), multiplie les expériences en musique de chambre et participe également à la création musicale contemporaine.
Disciple de l’école Stolarski-Oïstrakh, Zacharia Zorin a bénéficié d’une formation exceptionnelle : Ecole Piotr Stolarski, Conservatoire Supérieur d’Odessa, Institut Gnessine de Moscou. Concertiste, chambriste et chef d’orchestre, Zacharia est aussi titulaire d’un doctorat en pédagogie musicale. Il a débuté sa carrière en ex-URSS comme soliste à l’agence Mosconcert. Il a aussi dirigé l’Orchestre de Chambre d’Odessa et a été professeur de violon au Conservatoire Supérieur de Novossibirsk.
Alors que son activité musicale est en plein essor, Zorin décide de quitter l’URSS pour raisons politiques. Déchu de sa citoyenneté soviétique, Zorin s’installe en Israël et y poursuit son parcours international en qualité de soliste au sein de diverses formations prestigieuses : l’ensemble des Solistes de Jérusalem, l’Orchestre Kol-Israël, et l’Orchestre Philharmonique d’Israël avec lequel il se produira aux quatre coins du monde sous la baguette des plus grands chefs du XXème siècle : Metha, Bernstein, Solti, Barenboïm, Abado… Inspiré par ses amis solistes de cet orchestre légendaire, il fonde le “Zorin Quatuor”. Invité en France en 1980, il devient super-soliste de l’Orchestre National de Bordeaux, sans interrompre sa carrière de soliste. Sollicité par les compositeurs contemporains, il interprète avec l’Orchestre Philharmonique de Radio France le Concerto pour violon et orchestre de J. Dorfman qui lui est dédié (création mondiale). L’avènement de la Perestroïka lui donne l’occasion de revenir dans son pays natal pour y donner une tournée triomphale en 1989.
Depuis ses premiers pas sur la scène professionnelle à l’âge de dix ans, Zacharia Zorin a interprété la quasi-totalité du répertoire violonistique, avec les orchestres symphoniques et en récital, sur les cinq continents. Soucieux de partager son expérience riche et diverse avec de jeunes musiciens en France, Zorin fonde l’Institut Professionnel du Violon de Bordeaux et dirige les Rencontres Internationales des Graves, synthèse heureuse de ses passions pour la scène et la pédagogie.
Marc TOLANTIN débute la flûte à 8 ans et le piano à 10 ans.
Il étudie au Conservatoire Régional de Bordeaux, de Créteil puis à l’Ecole Normale de Musique Alfred Cortot de Paris.
En 1983 il intègre l’orchestre de la musique de l’air de Bordeaux comme flute piccolo solo puis en 1986 l’orchestre d’harmonie de Bordeaux et poursuit ses études auprès de Maurice Pruvot au C.R.R. de Créteil où il obtient sa médaille d’or et son certificat de perfectionnement. La même année, il rejoint l’orchestre de chambre de la Gironde sous la direction de Scott Sandmeïer.
Marc TOLANTIN continue ses études de flûte avec Georges Alirol, à l’Ecole Normale de Musique Alfred Cortot de Paris dans la classe de Christian Chéret et auprès de Samuel Coles.
Il suit de nombreux stages de direction de chœurs et d’orchestre, notamment avec Anna Parus, Michel Tranchant et Michel Cardon.
Il collabore également comme flutiste-musicien d’orchestre avec l’Opéra de Bordeaux, l’orchestre de chambre de la Gironde, l’orchestre symphonique de Mulhouse, et l’Orchestre National de Bordeaux-Aquitaine où il est suppléant depuis 2008.
Depuis 1998, Marc Tolantin est nommé professeur de flute traversière et de piccolo au Conservatoire de Talence.
Né en 1979 dans la région bordelaise, c’est à l’âge de six ans et par la clarinette que Julien Petit commence son apprentissage musical. Il poursuit ses études au CNR de Bordeaux puis au CNSM de Paris dans les classes de Claude Delangle, Nicholas Angelich et Marie-Françoise Bucquet où il obtient ses Premiers Prix de saxophone et de musique de chambre.
Lauréat des plus prestigieux Concours Internationaux pour saxophone, dont le 2ème Prix du Concours International Adolphe Sax à Dinant (Belgique), le 3ème Prix du Concours International de l’ARD de Munich, Concours Internationaux de Bayreuth, Limoges, Gap… Il est l’invité de concerts et festivals dans de nombreux pays en Europe, au Canada, aux USA, en Asie, en Russie, et se produit en soliste avec le Hofer Symphoniker, l’Orchestre de la Radio Bavaroise, l’Orchestre Royal de chambre de Wallonie, la Force Royale Aérienne Belge, l’Orchestre de la Garde Républicaine, Filharmonia Krasnoyarsk… Plusieurs émissions musicales lui ont été consacrées, notamment sur Radio France, Radio Classique, RTL (Alain Duault), France Inter, France 2, et Mezzo.
Il est également lauréat de la Fondation Natexis Groupe Banque Populaire, Boursier Tremplin Jeune Selmer, Révélation de la revue Classica en 2003, et sort en 2004 son premier disque « La escapada » avec le pianiste Vincent Balse (label Lyrinx).
Sollicité par Karlheinz Stockhausen, Julien Petit enregistra « Saxophon », disque en soliste comprenant toutes les pièces pour saxophone du compositeur, dont plusieurs créations lui ont été dédiées (édition K. Stockhausen).
Passionné également par les musiques traditionnelles juives, il enregistre avec la violoncelliste Béatrice Reibel, « Mosaïque », disque métissé de musique savante et folklorique juive (sorti en 2007 chez Intégral distribution). Dans le même esprit, il réalise un spectacle musical « Une voix dans le désert », alliant musique, danse, dessin sur sable, et mise en espace ; ce fut en 2008 l’objet d’une tournée à travers la Russie de Moscou à Vladivostok. Le dernier enregistrement avec le trio Klezele s’intitule « Freyleh from Vladivostok » (sorti en 2009 chez Intégral distribution).
Julien a aussi cofondé l’ensemble KolorBach, un quatuor pour cordes et saxophone associant transcriptions de Bach, musique traditionnelle, improvisations et compositions originales.
La pédagogie fait partie intégrante de son activité musicale, il intervient régulièrement en tant que professeur lors de masters-classes et universités comme au Festival International des Graves, à l’Université européenne de Gap, à Madrid, Cologne, Glasgow, Moscou, Paris…Il enseigne actuellement au conservatoire (CRR) d’Aubervilliers.
Né dans le Sud Ouest de La France, Guillaume Berceau débute très tôt le saxophone dans une petite école de musique avant de poursuivre ses études aux Conservatoires de Bordeaux, de Bayonne puis de Toulouse dans lesquels il obtient deux DEM de saxophone. Il a participé à de nombreuses Masterclasses animées par les plus grands noms du saxophone mais également de la musique (Rostropovitch, Vengerov, Lockwood, Zygel et Stockhausen). Il obtient en 2015 son Master 2 mention Très Bien à l’unanimité avec les félicitations du jury au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris dans la classe de MM. Delangle et Bois, mais aussi le Diplôme d’Etat d’enseignant au CEFEDEM d’Ile de France. Il s’est d’autre part distingué lors des concours de l’UFAM et de Gap, puis en obtenant le 1er prix d’honneur du concours Bellan, et le 4ème prix du prestigieux concours international Adolphe Sax de Dinant en 2014. Guillaume enseigne aujourd’hui le saxophone et l’improvisation lors d’académies d’été, mais aussi aux conservatoires du 16ème arrondissement de Paris et de Rambouillet.
Toujours dans une recherche de renouveau pédagogique et artistique, Guillaume cherche à partager un répertoire original en créant un spectacle de théâtre musical intitulé « Le Restaurant », mais aussi en participant à des projets avec danse, des ciné-concerts, ainsi que des créations avec des compositeurs contemporains de l’IRCAM et du CNSMDP. Il se produit aussi en soliste dans des salles prestigieuses comme la Philharmonie de Paris, le Théâtre du Châtelet ou encore le Congrès International du saxophone. Guillaume est membre fondateur du Quatuor Zahir, premier prix du Concours International de Musique de Chambre d’Osaka (Japon).
Timothy Lees, violinist, enjoys an exciting and eclectic career as Concertmaster of the Cincinnati Symphony Orchestra, soloist, recitalist, and chamber musician. Since his arrival in Cincinnati as Concertmaster in 1998, Mr. Lees has also been appointed as an esteemed member of the violin faculty of the University of Cincinnati, College-Conservatory of Music (CCM) where he serves a vital, dual role as teacher and private coach in preparing students in developing their orchestral audition skills. A member of the Sarasota Festival faculty since 2004, Mr. Lees has also been a faculty member of the Aspen Music Festival and School where he performed as Concertmaster of both the Aspen Chamber Symphony and the Aspen Festival Orchestra.
Mr. Lees’ Carnegie Hall solo debut with the Cincinnati Symphony in 1999 was received with critical acclaim. As described by Strings Magazine, his performance of Strauss’ Ein Heldenleben: “the display of egotism is almost redeemed by the soaring melodies and the famous bravura violin solo, played with spectacular virtuosity by concertmaster Timothy Lees.” From Bach to Bartok, Mr. Lees’ flexibility and command of the solo violin repertoire is evident through his numerous solo appearances with the Cincinnati Symphony as well as on many other stages throughout North America. As a recitalist, he has been featured in solo recitals in cities throughout the United States such as Cincinnati, Philadelphia, San Diego and at festivals including Sarasota, Spoleto, Sebago-Long Lake, Mainly Mozart Festivals, among others.
An avid and highly sought after chamber musician, Mr. Lees frequently collaborates with the world’s most prominent artists including Jaime Laredo, Joseph Silverstein, Yefim Bronfman, Ida Kavafian, Peter Wiley, among many others. Additionally, he has appeared in performances as guest artist with St. Lawrence and Jupiter Quartets. Mr. Lees is featured regularly in chamber music on well established series including the Linton Music Series, CCM Faculty Artist Series, Oberlin Conservatory Series, Concert Nova, as well as appearances on Aspen Music Festival Faculty Artists Series and Spoleto Festival Series. His performances have been broadcast on NPR Performance Today, WFMT (Chicago Public Radio), NHK Radio (Japan), WGUC (Cincinnati Public Radio), KAJX (Aspen Public Radio), (WMEA) Maine Public Radio, and WFSU (Florida Public Radio). Mr. Lees has been recorded on Telarc, Bridge Records, and Fanfare Cincinnati labels. His recent recordings include the soon to be released Bruch Octet, a collaboration featuring Mr. Lees with members of the Jupiter Quartet and faculty members from the Oberlin Conservatory of Music.
A native of Philadelphia, Mr. Lees received the coveted Performer’s Certificate from the Eastman School of Music where he studied with Charles Castleman. Prior to his arrival in Cincinnati, Mr. Lees established himself as a distinguished leader serving as Concertmaster of the internationally renowned Spoleto Festival, the Pittsburgh, New Jersey, and the Charleston (SC) Symphony Orchestras. The expertise he has cultivated in his own command of solo, chamber music, and orchestral literature is shared, not only by his recent addition to violin faculty of CCM, but also through master classes presented nationally and internationally at Universities, Conservatories, and festivals including CCM, Indiana University, Aspen Music Festival, Sarasota Music Festival, Beijing Central Conservatory, Sookmyung Women’s University, Yeungnum University, Korea National University of Arts, Carnegie Mellon University, University of Charleston, University of Kentucky, Northern Kentucky University, Ohio University, Biola University, Cincinnati Young Artists Festival, and many others. Mr. Lees’ versatility in teaching effectiveness is evidenced by a consistent and strong track record of students claiming competition prizes as well as winning positions in major symphony orchestras domestically and abroad.
Mr. Lees performs on a J. B. Vuillaume violin c. 1845
Tracy Ho was born in Taiwan, started off her career as an internationally celebrated violinist. She met Dorothy DeLay at Aspen Music Festival, under her arrangement, was given the President’s Award to study with Masao Kawasaki in Brooklyn College, and received instruction in Itzhak Perlman’s master class. Because of her devout interest in violin teaching, she later entered Teachers College, Columbia University. Her doctoral dissertation on ”Method and Apparatus for Teaching the Production of Tone in the Bowing of a Stringed Instrument,” won the 1987 Teachers College the Dean’s Grant for1987 Outstanding Dissertation Proposal, later on was patented (United States Patent Number: 5,038,662, 1991-2008) and published in ACM SIGCUE Outlook.
She later spent huge amount of time in studying relaxation and concentration, including learning meditation, and Tai-chi. In the meantime, integrate these experiences into her teaching.
Lately, her research team developed a computer‐based visualized quantitative vibrato analysis system (VQVA‐Sys) and concluded that maintaining temporal coincidence between the intensity peak and the target frequency is the crucial factor for achieving good intonation when performing vibrato; was also patented, “Methods, Systems, and Media for Performing Visualized Quantitative Vibrato Analysis” (US8766080 B2, July, 1, 2014). And, was published in British Journal of Educational Technology (Ho, Lin, Chen, & Tsai, 2015). This paper was described as “redefinition” vibrato’s theory by Sweeney et al. (2017) after assessed technology enhancements in higher education using an analytic survey tool, which identified 1713 recent scholarly articles published in 19 international journals. This device is now implemented as an app called “myVibrato” for violin, viola, cello, and double bass. Players often try to use different muscle groups in the body to find the most efficient way to play. This is not a one-step process. “myVibtato” app become the most reliable tool to help players to explore and reflect on this process. She is currently a violin professor in University of Taipei, Taiwan.
Yulia was born into an artistic and musicalenvironment; her precocius talent was discovered at early age by her father Sergey Berinsky, among the greatest composers of the 20th century in Mokow, and he encouraged her to study violin. Her training and her extraordinary musical potential were encouraged and cultivated by internationally renowned artists such as E. Tchugaeva and V. Tretiakov, the Borodin Quartet, the Moskov Trio, who guided Yulia to graduate with honors from the Moscow Tchaikovsky Conservatory. She then continued her studies at the Hochschule für Musik in Vienna under the tuition of D. Schwarzberg. Aerwards Yulia began a brillant career as a solist, chamber musican and teacher, acclaimed in Italy and abroad: Netherlands, Switzerland, France, Germany, the former Yugoslavia, USA, Israel, Russia. Her recitals represent her quality as a versatile artist, and her virtuosity accompanies many diverse styles. She has had prestigious collaborations with several oechestras: Verdi Oechestra in Milan, The Milan Conservatory Orchestra, Moskow Amadeus Orchestra, Sverdlovsk Philharmonic Orchestra and I Musici di Parma ensemble.
Being a passionate chamber musician, she has being invited to some of the major Italian and European festivals, performing alongside artists including: S. Krilov, Y Bashmet, D. Cohen, V. Mendelssohn, F. Lips. Yulia regulary gives masterclasses in Mendrisio (Switzerland), Timisoara (Romania), Rhodes (Greece), Mulin de Andee (France), Portogruaro (Italy), Venece (Italy); she ha salso founded her own violin course at the Milano Music Masterschool academy and is regularly a jury member in international violin competition. Yulia has performed as a guest leader with the following orchestras: Teatro San Carlo in Naples, Orchestra of Trento and Bolzano, Orchestra Earl (Austria), Teatro La Fenice in Venice, The Philharmonic Orchestra of Liubljana. She records for the record labels: Koch Records (Germany) and Gramsapis ArtClassic (Russia), Sonart Studio, Playing News, ClassicaViva, LimenMusic (Italy). Yulia recorded the CDs Red Violin, Violin in Blue, Violin in White and Violin in Bach, and with Limen Records she has released a double CD and a live DVD box set: Bear in the Sky – Unconditional Music. Her recordings are regularly brodcasted by Radio Vaticana, Radio Classica, Radio della Svizzera Italiana.
Violoniste innovatrice, Lydia Becker s’engage à créer des rapports dynamiques et authentiques avec son public par le biais d’interprétations historiquement informées.
Lydia est actuellement premier violon pour la Eastman Collegium Musicum, où elle travaille avec Christel Thielmann et Paul O’Dette. Elle est également membre fondatrice de plusieurs ensembles, dont Innominatum et l’Ensemble Perihipsous, un orchestre classique basé à Rochester, New York. Lydia participe à de nombreux festivals et concerts, par exemple la American Bach Soloists, le Oregon Bach Festival et les Rencontres Musicales Internationales des Graves.
Ayant obtenu un diplôme Bachelor of Music avec haute distinction de la Eastman School of Music, Lydia continue ses études en violon et musique ancienne avec Oleh Krysa, Christel Thielmann, et Paul O’Dette. Avant ses études à Eastman, Lydia a étudié avec Zacharia Zorin et a obtenu plusieurs certificats du Conservatoire de Bordeaux Jacques Thibaud. Dans ses moments libre, elle aime faire de la danse swing, manger du chocolat, et jouer aux jeux de cartes avec ses amis et sa famille.
Dimitri Illarionov is a brilliant classical guitarist. He is a multi-award winner of more than 20 international competitions in the U.S., Spain, Italy, Poland, Russia and other countries. He is winner of two of the most prestigious guitar competitions in the world: Guitar Foundation of America Competition (2002, Miami, USA) and Francisco Tárrega Guitar Competition (2008, Spain).
As well as performing numerous solo recitals, he is a frequent guest-soloist with symphony and chamber orchestras all over the world. Dimitri is one of the rare guitarists who appears so frequently with orchestra and has played with such orchestras as I Solisti Veneti, Moscow Virtuosi Chamber Orchestra, State Academic Symphony Orchestra of Russia, Tchaikovsky Symphony Orchestra of Russia, Istanbul State Symphony Orchestra, Orquesta di Valencia etc.
His partners on stage are famous and recognized artists – conductors Claudio Scimone, Fabio Mastrangelo (Italy), Vladimir Fedoseyev, Dmitri Liss, Alexander Sladkovskiy (Russia) Gum Nanse (Korea), Leo Brouwer (Cuba), César Álvarez (Spain), flautist Patrick Gallois (France), Artis-Quartet (Austria), Roland Dyens (France), cellist Boris Andrianov, pianist Denis Matsuev (Russia), violinist Julian Rachlin (Austria), lute player Edin Karamazov.
He has given concerts in Europe, Asia, North and South America in some of the most prestigious halls in the world – Tonhalle (Zurich), Bolshoi Theater in Moscow and Great Hall of Moscow Tchaikovsky Conservatory, Osaka Symphony Hall, Seoul Art Center; Palais des Beaux Arts (Brussels)…. Taking part in many festivals, Dimitri was the first solo guitarist to participate in “Orpheum Foundation for the Advancement of Young Soloists” (Switzerland) and the International Chamber Music Festival in Utrecht (Artistic Director – Janine
Jansen, Holland).
Dimitri studied in Russia with the famous performer Alexander Frauchi, in Germany with Professor Andreas von Wangenheim (Hochschule für Musik Karlsruhe) and also took lessons with composer Nikita Koshkin. He is now Professor at the Russian Gnesins’s University of Music in Moscow. Dimitri Illarionov has recorded several CDs: solo for the Naxos and Daminus labels, with orchestra for Les
Editions Doberman-Yppan. His “Classical Duo” CD (Delos Records) with Boris Andrianov was on the longlist of the prestigious “GRAMMY-2004” Awards. Composers have dedicated their works to Dimitri. Italian composer Angelo Gilardino wrote for him the
Concerto "Star of the Morning" (Homage to Nikolaj Roerich) for guitar, cello and orchestra; Nikita Koshkin dedicated to Dimitri his Concerto Grosso for Guitar and Orchestra. Alexei Rybnikov (Russia) wrote for Dimitri the Suite “Travel though Time” for Guitar and Orchestra.
Dimitri is the organizer of numerous International guitar festivals in Russia. He is director of the classical section of the largest guitar festival in Russia, the World of Guitar Kaluga International Festival. He was the founder of the International “Guitar Virtuosi” Moscow Festival. Since 2009 Dimitri is one of the organizers of the Alexander Frauchi International Guitar Competition. In 2012 he became the artistic director of the Novosibirsk Guitar Festival – the biggest Guitar Festival in history of Asian part of Russia.
PRESS EXCERPTS
Blessed with the star gene “… with such temperament, musicianship, richness of colour, radiance, sense of timing and feeling the
acoustic qualities of his soft-toned instrument that the combination of all these abilities, coupled with an evident gift for entertainment, is the best expressed in one single word: wow!”
Tages-Anzeiger (Zurich, Switzerland)
“Truly, this guitarist is a phenomenon.”
El Norte (Monterrey, México)
“Dimitri Illarionov’s concert was one of the "top five classical concerts" of 2003 in Edmonton (…) According to this standard, elegant and dramatic Angela Hewitt was a shoo-in (and a red hot number at that). Classical guitarist Dimitri Illarionov had the same kind of charisma. The chemistry between the audience and this young Russian guitarist was exceptional.”
Vue Weekly (Edmonton, Alberta, Canada)
“An outstanding virtuoso.”
Oliver Hochkeppel, Sueddeutsche Zeitung (Germany)
“…he displayed a firework of virtuosity – the filigree of sounds rivaled the incredibly swift technique of fingers and ardent warmth of bursts of emotions. Only an encore performance could satisfy the storms of applause from the audience.”
Westdeutsche Zeitung (Germany)
“I felt like I was struck by lightning the moment he touched the guitar. It sent chills down my spine. I have never experienced anything like it. Incredible! Simply incredible!“ Irma Wassall (1908-2012) – Poet Laureate and founder of the Wichita Society of the Classical Guitar
(USA)
“It was one of the most inspiring guitar performances I have ever heard.” Dusan Bogdanovic – guitarist and composer. Remarks on Dimitri Illarionov’s performance in Gdansk
Nikolay Sivchuk – the brilliant bayan (button accordion) player from Russia, talented teacher, arranger and composer, who continues the best traditions of Russian bayan school of performers. He was born in 1981 in Surgut (Russia), where he started his musical education. In his childhood Nikolay being very talented and virtuoso player is already winner of several competitions of International caliber. In 1996 Sivchuk gets the scholarship and becomes the member of the International Programme «New Names», the Charitable Foundation which helps the most gifted young musicians of Russia. Through the «New Names» Programme Nikolay meets the legendary Russian Professor Viacheslav Semionov and some years later continues the education as a student of Semionov’s class in Gnessin Russian Academy of Music in Moscow. During his studies with prominent Teacher Nikolay Sivchuk becomes the laureate of the most prestigious All-Russian and International competitions – «Ugoria» (Russia, 2001), «Coupe Mondiale» (Slovakia-Hungary, 2003), Internationaler
Akkordeonwettbewerb Klingenthal (Germany, 2005), «Shanghai Spring» (China, 2006). Nowadays besides his solo recitals Nikolay collaborates with many recognised and famous performers, such as cellist Boris Andrianov, guitarist Dimitri Illarionov, violinist Elena Revich, pianists Vadym Kholodenko, Andrey Gugnin and others, constantly increasing the geography of his concerts.
Through intensively colourful and bright performances Nikolay Sivchuk always shows amazing capacities of bayan. Audience enjoy Nikolay’s versatile and profound musicality with courageous and brave interpretations of modern and classical pieces, thereby discover the young instrument in the history of classical/art music – bayan.
Violoncelliste montante, Joëlla Becker poursuit actuellement ses études à la Eastman School of Music (Rochester, New York) dans la classe de Guy Johnston. Joëlla a participé dans de nombreux master classes avec Anne Gastinel, Joshua Roman, Karine Georgian, et d’autres. Elle est aussi lauréate de plusieures concours dont les concours Vatelot Rampal et Louis Rosoor.
Joëlla rentre au Conservatoire de Bordeaux Jacques Thibaud dans la classe de Laurence Dufour ou elle reçoit son DEM en 2016. Elle continue ses études au Conservatoire de Saint-Maur-des-Fossés dans la classe de Matthieu LeJeune, obtenant son DEM en 2017.
Joëlla s’intéresse beaucoup à la musique contemporaine. Elle est une membre active d’OSSIA, un ensemble contemporain d’élève à Eastman.
CHRISTOS GALILEAS, VIOLINIST
Haled by many music critics as “A genuine old school virtuoso,” “an incredible mixture of dazzling virtuosity and immaculate musicianship,” “an artist of rare originality and utmost integrity.” Greek-Armenian violinist Christos Galileas has enjoyed an active international career as a concert violinist, chamber musician and teacher, in over forty countries worldwide.
Highlighted appearances include the performance of the Brahms Double Concerto with Mischa Maisky and conductor Andris Nelsons. Chausson concerto for violin, piano and string quartet with the Borodin Quartet. Beethoven Triple Concerto with the Berlin Symphony Orchestra. He has appeared as a soloist at some of the world’s most prestigious concert venues such as the Kennedy Center (Washington D.C.), Carnegie Hall (New York), Musikverein (Vienna), Gasteig (Munich), Smetana Hall (Prague), Athenaeum (Bucharest).
Born in Thessaloniki Greece, he took his first violin lessons at the age of four from his father Kosmas Galileas, the distinguished Greek violinist and conductor, and continued studying with Professor Stelios Kafantaris.
He was awarded first prize and the gold medal for his outstanding musical abilities upon graduating from the Conservatory of Athens in 1994. His first public appearance at age sixteen was with the Symphony Orchestra of Thessaloniki with an impressive performance of the Paganini violin concerto no1.
From 1994 to 1995, he studied with Zachar Bron in Lubeck Germany.
He continued his education at the Oberlin Conservatory where he was accepted in the studio of renowned Professors Roland and Almita Vamos and received the «Dean’s Talent Award» and B.M. degree.
In 1995 he won the first prize at the «National Competition for Scholarships» of Greece, and two years later he was awarded the «Alexandra Triandi» scholarship of the «Megaron» of Athens.
Since then, he has appeared as soloist with many orchestras including the Berlin Symphony, the Gustav Mahler Orchestra, the Prague Symphony, the George Enescu Philharmonic (Bucharest), the Bohuslav Martinu, the Philharmonic Orchestra of Armenia, the Talich Chamber Orchestra, the Canadian Chamber Orchestra of Toronto, the Symphony of the Americas (Fort Lauderdale Florida), the Ploesti and Baccau Symphony Orchestras (Romania), the «Prague Virtuosi», the Orchestra Citta di Grosseto (Italy), the Symphony Orchestra of Sofia (Bulgaria), the Lisbon Chamber Orchestra (Portugal), the Latvian National Orchestra, the «Camerata Stuttgart» (Germany), the State Orchestra of Athens, the National Radio Orchestra of Greece, the State Orchestra of Thessaloniki.
He has made appearances at the International Festivals of «Nafplio» (1993, 2001), «Dimitria» (1994, 1998, 2003, 2004), the Music Festival of Armenia (1994), the Festival «Kypria» of Cyprus (1995), «The Festival of Patra» (1998), «Heraklion Summer Art Festival» (1999), the Festival of Classical Music of Larnaca», Cyprus (2001), the festival of Catania in Sicily (2001), and the «Festival Lago di Como», Italy. He has also appeared as soloist with the Philharmonic Orchestra of the Music Academy of Vienna, as well as the «Camerata» Orchestra of «Megaron» of Athens for the opening of the International Festival in Patra.
In 1997, Christos Galileas won the first prize at the Greek National Competition for violin, held by the Cultural Association «TECHNI», in collaboration with the State Orchestra of Thessaloniki and the Cultural Capital of Europe «Thessaloniki 1997».
Of special significance was his collaboration with acclaimed pianist Dimitri Sgouros.
In 1999 he continued his studies at the Juilliard School with the distinguished violin pedagogues Dorothy Delay and Naoko Tanaka, and received the Master’s degree.
In March 2001 he had the honor of receiving the first prize at the «Kate Neal Kinley Memorial fellowship» competition of the University of Illinois. In 2002, he founded the «Hellenic Camerata», a chamber orchestra with 22 members, and had an extensive tour in North, Central and South America in many countries such as: USA, El-Salvador, Guatemala, Costa Rica, Uruguay, and gave more than 35 concerts in 7 weeks. In December 2005 he received his Doctorate Degree in Violin Performance (Doctor of Musical Arts) from the State University of New York at Stony Brook.
Dr. Galileas has been invited to teach violin and chamber music extensively in renowned institutions such as: The Julliard School, Oberlin Conservatory, University of Illinois, Northwestern University, University of North Carolina, New York University, Penn State University, University of Houston, The State Conservatory of Thessaloniki, and The Athens Conservatory among others. Dr. Galileas has held important administrative positions which include: Director of the North City Conservatory in Thessaloniki Greece (2006-2009), Artistic Director of the Dimitria” International Festival of Thessaloniki (2002-2009). Member of the Board of Directors of the State Conservatory of Greece (2004- 2009), and State Orchestra of Thessaloniki (2014-2017), Artistic Director of the Summer Music Academy in Afytos Greece (2005-2008). In 2007 Christos Galileas joined the faculty at Georgia State University where he currently serves as Associate Professor of Violin and Coordinator of Chamber Music. He served as Coordinator of the String Area from 2007-2013. In 2015 Dr. Galileas founded the Anatolia Summer Music Program in Thessaloniki Greece where he also serves as Executive Director – www.musicanatoliacollege.com – Dr. Galileas’ recordings can be found on the Albany Records label. Christos plays on a 1705 Joseph Guarneri violin.
Vassilena Serafimova est une percussionniste formée au CNSMD de Paris et The Juilliard School à New York, après avoir terminé la classe de percussion de son père en Bulgarie. Elle donne dès son plus jeune âge de nombreux concerts en soliste ou au sein de l’ensemble de percussion Accent. Entre 2003 et 2010 elle remporte de nombreux prix internationaux : 1er prix du World International Marimba Competiton de Stuttgart, 2nd prix du Concours International de Musique de l’ARD de Munich, Grand prix du 10ème Concours International “Music and Earth”, Prix “Jeune musicienne de l’année” en Bulgarie, 1er prix de la Critique musicale du 18ème Festival International d’Europe Centrale en Slovaquie, 1er prix du Festival d’Automne de Jeunes Interprètes…
En avril 2014 elle fait ses débuts au Carnegie Hall de New York. Un an plus tard, en duo avec le pianiste de jazz Thomas Enhco, elle fait entendre le marimba pour la première fois aux Victoires de la musique classique. En 2016, le duo enregistre leur premier album Funambules pour Deutsche Grammophon.
Vassilena se produit en tant que soliste et chambriste dans de nombreux festivals : Les Flâneries Musicales de Reims, Classique au Vert (France), Middelheim Jazz Festival (Belgique), REpercusionES (Costa Rica), Focus! 2011 Festival (Etats-Unis), and TransART (Bulgaria)) et a des enregistrements pour Radio France, Bayerischer Rundfunk, Bulgarian
National Radio. Elle a joué à Carnegie Hall, Alice Tully Hall (New York), Théâtre de Champs Elysées, Théâtre de Châtelet, Salle Pleyel (Paris), Hermitage Theater (Saint-Peterburg), Muziekgebouw (Amsterdam and Eindhoven), Herkulessaal (Munich), Bulgaria Music Hall (Sofia). Vassilena donne régulièrement des mastersclass en Europe, Amérique Centrale, Amérique du Nord et en Asie.
Directrice artistique du Festival International de Marimba et Percussions de Bulgarie et de l’ensemble Paris Percussion Group (avec Jean-Baptiste Leclère), elle à cœur de défendre le répertoire de la percussion dans le monde entier.
Vassilena représente les sociétés Adams Musical Instruments, Avedis Zildjian Compagny et a créé sa propre série de baguettes chez Vibrawell.
Liens utiles :
Professeur de piano au CRR de Saint-Maur-des-Fossés
Professeur-assistant de formation musicale chanteur
Premiers prix du CNSMDP
Licence de musicologie
Titulaire du Certificat d’Aptitude
La pianiste Christine Fonlupt obtient ses premiers prix de piano et musique de chambre au CNSM de Paris avant d’intégrer le cycle de perfectionnement de musique de chambre au CNSM de Lyon. Elle reçoit l’enseignement de Bruno Rigutto et Nicholas Angelich. Elle obtient son CA de professeur de piano ainsi qu’une Licence de Musicologie. Elle a joué à la Comédie Française, à l’opéra Bastille, à l’Opéra Comique travaillant avec des metteurs en scène très différents et a créé de nombreux spectacles Jeunes Publics sélectionnés aux JMF (150 dates de tournées). Entre 2000 et 2008, elle organise le festival et l’académie des Nuits musicales Catalanes (50 artistes invités, 800 élèves stagiaires en 8 ans).
En 2017, elle sort un disque de Tango argentin avec le quintette Encuentro. En 2018/2019, elle joue le spectacle ABC D’Airs au théâtre du Lucernaire à Paris et au festival d’Avignon. Elle enseigne au CRR de Saint Maur des Fossés (94) et au CNSM de Paris depuis 2003 et donne des master class en Chine, au Maroc. L’été, elle est présente aux académies musicales de Tignes et de Chanac. Sa volonté de créer des orchestres ou ensembles de piano la pousse depuis de nombreuses années à écrire pour tous ses élèves, jeunes ou aguerris afin q’ils puissent jouer le grand répertoire d’orchestre sur des claviers et à diriger ses élèves. Elle a mené à bien le concert Pianorchestra à la Philharmonie de Paris le 7 avril 2019 avec 96 pianistes, après plus de 2 ans d’engagement.
Originaire de Bordeaux, Aurélienne Brauner commence le violoncelle avec Paul Rousseau. Elle entre ensuite au CRR de Bordeaux dans la classe d’Etienne Péclard puis au CNSM de Paris dans la classe de Philippe Muller où elle obtient ses prix de violoncelle et de musique de chambre avec la mention très bien à l’unanimité et la bourse Feydeau de Brou Saint-Paul. Elle part ensuite se perfectionner à l’Universität der Künste de Berlin auprès de Jens-Peter Maintz.
Lauréate d’un prix d’interprétation au concours Lutoslawski, elle est soutenue par le Mécénat Musical Société Générale et la Fondation Meyer, lui permettant ainsi de réaliser un CD « Jeunes Solistes » consacré aux œuvres pour violoncelle seul du XXème siècle.
Aurélienne se produit à New-York, Kyoto, Santander, Verbier, Berlin, à la Roque d’Anthéron, à la Cité de la musique, salle Cortot. En 2008, elle joue en tant que « Révélation de l’ADAMI », à l’Arsenal de Metz, à l’Opéra de Vichy, au Septembre Musical de l’Orne, à l’Opéra National de Lorraine, au Théâtre Impérial de Compiègne et à l’Opéra-Théâtre d’Avignon. Elle a également été l’invitée de Gaëlle Le Gallic sur France Musique et « Découverte » du magazine Classica-Répertoire.
En 2009, elle reçoit le prix de la Fondation Del Duca décerné par l’Académie des Beaux-Arts pour récompenser le début de sa carrière musicale et est lauréate de la Fondation de la Vocation (« promotion Président de la République »). Elle a été sélectionnée par le « International Holland Music Sessions » pour la tournée des « New Masters on tour » en 2010-2011. Elle s’est également produite à Radio France dans le cadre des concerts « Génération Jeunes Interprètes ». On a pu l’entendre aux côtés de Patrice Fontanarosa, David Grimal, Paul Katz, Jean-Guihen Queyras… Aurélienne est lauréate de la Fondation Oulmont (Fondation de France).
En 2011, Aurélienne a joué en soliste avec l’Orchestre National de Lille sous la direction de Laurent Petitgirard et en soliste avec l’Orchestre de la Philharmonie de Baden-Baden (Allemagne). Elle s’est produite en 2012 dans plusieurs festivals en France et à l’étranger, notamment en Suède et au Palazzetto Bru Zane à Venise avec la pianiste Lorène de Ratuld.
Plus récemment, elle a réalisé une tournée en Norvège avec le MinEnsemble ainsi que des concerts dans divers festivals (Sinfonia en Périgord, Musique en Vallée du Tarn, Concerts de Vollore, Musiciennes à Ouessant,Val d’Aulnay…) Elle s’est également produite dans plusieurs villes d’Algérie (Alger, Oran, Constantine, Annaba) pour la présentation du spectacle « La Musique m’a sauvé la vie » en hommage aux Poilus de la grande guerre.
Aurélienne est violoncelle solo de l’orchestre Bordeaux-Aquitaine depuis février 2014.
Reconnue par le magazine Diapason comme “une artiste indéniablement originale”, Valérie Aimard est appréciée des musiciens et du public pour la grande sensibilité de son jeu et son intelligence musicale. Ses concerts l’ont mené dans plus de 30 pays. Remarquable chambriste, elle a été invitée à plusieurs reprises au légendaire Festival de Marlboro (EU).
Valérie Aimard a étudié avec Michel Strauss et Philippe Muller au CNSM de Paris. De nombreuses rencontres avec des musiciens tels que David Geringas, Lluis Claret, Janos Starker enrichiront par la suite sa personnalité musicale. En 1992, elle rencontre le violoncelliste américain Bernard Greenhouse, membre fondateur du Beaux-Arts Trio et disciple de Pablo Casals qui deviendra son mentor.
De son vaste répertoire se détachent l’intégrale des Sonates de Beethoven réalisée avec Cédric Tiberghien, l’oeuvre de Mendelssohn enregistrée avec son frère Pierre-Laurent Aimard, les oeuvres de György Kurtag avec qui elle a longuement travaillé, l’intégrale de la musique de chambre de Brahms et en 2018 l’intégrale des Suites de J. S. Bach.
Très influencée par le grand pianiste et pédagogue hongrois György Sebök,V. Aimard est très engagée dans l’enseignement. Elle est professeur de violoncelle au Conservatoire Maurice Ravel (Paris 13ème) et enseigne la musique de chambre au Conservatoire National Supérieur de Musique à Paris.
Elle joue un violoncelle italien de 1694 vraisemblablement de Grancino.
Depuis 2002, elle se passionne pour l’art du Mime.Elle présente son spectacle “Bulles” seule en scène depuis plusieurs saisons dans différents théâtres parisiens.
En 2016, elle crée “Quelle histoire !!!” un spectacle sonore et visuel, né de sa rencontre poétique et joyeuse avec le compositeur Guy Reibel : langage imaginaire mêlant violoncelle, voix et mime.
Après des études musicales au CNR de cergy-Pontoise ,Esther Brayer intègre le CNSM de Paris ( classe de J.M. Rollez et J.P. Celea ) et obtient son Master Mention Tres Bien à l’unanimité avec les félicitations ,ainsi qu’une mention Très bien en formation supérieure de musique de chambre ( classe de C. Ivaldi ). Elle diversifie et poursuit sa formation en participant à des académies d’orchestre ( l’ O.F.J. , académies du XXe siècle, d’ Attergau avec la philharmonie de Vienne), et travaille avec B. Cazauran, T. Martin , G. Ettore, W. Guttler, T. Barbé, A.G.y Araque….
Artiste éclectique, elle a constitué un quatuor de contrebasses, “S grave” , fait partie d’un ensemble baroque Pasticcio Barocco avec notamment David Walter ( 3 cd enregistrés par le label Hérisson ), sera soliste de l Orchestre des Siècles pendant 4 ans ( sur instruments d’epoque ), puis soliste du Paris Mozart Orchestra ( dir. Claire Gibaut ) avec lequel elle s’investira dans des activités de sensibilisation auprès des jeunes publics , soutenues par la Philharmonie de Paris . En parallele, apres avoir obtenu très jeune le DE puis le CA, elle a enseigné pendant 13 ans au CRR de Cergy Pontoise et participé à de nombreux stages et académies.
En musique de chambre elle se produit aux cotés d A. Meunier, R. Pidoux, T. Zimmerman, J.G. Queyras, N. Dautricourt, du quintette Moragues , j.M. Luisada et bien d’autres lors de divers concerts et festivals, avec les Concerts de Poche, La Chambre d Amis , les Festiv’Académies… Elle est également régulièrement sollicitées par les plus belles formations orchestrales françaises ( l’Orchestre de Paris, l’Opera Bastille, l’Ensemble Orchestral de Paris, l’ ONPL, l’ Orchestre du Capitole, l’ Orchestre de Lille,etc…)
Précédemment titulaire de l’ Orchestre de La Garde Républicaine, elle est ,depuis 2015 , Contrebasse Solo de l Orchestre National de Bordeaux Aquitaine et professeur au Pôle d’Enseignement Supérieur Musique et Danse Bordeaux Aquitaine.
Formé par, Maîtres Yves Didier à Bordeaux, puis Guy Deplus au Conservatoire de Paris (sans oublier l’enseignement paternel et celui de son 1er professeur M. Jean Saint-Jours), cet Aquitain a obtenu, entre autres, le Premier prix du Conservatoire National Supérieur de Paris et le très convoité Grand Prix International de Munich (3e Prix). Il débute au célèbre orchestre d’harmonie de La Garde Républicaine de Paris, puis est invité par Alain Lombard à rejoindre l’Orchestre National Bordeaux Aquitaine. Outre sa participation aux formations solistes de l’ONBA, essentiellement avec le Quintette à vent, il se produit en concert notamment en interprétant le Lied de Schubert Le Pâtre sur le rocher au château Pontet-Canet en compagnie de la soprano Margaret Price, Golem (musique yiddish) sous la baguette de Hans Graf et dernièrement le Quintette en si mineur de J. Brahms avec le quatuor Prazák. Il se produit en musique de chambre, en trio avec l’altiste Yuri Bashmet et dans le Concerto d’A. Copland en compagnie de Michel Portal. Ce dernier est le « parrain » de la classe de Richard Rimbert, professeur principal de clarinette au Conservatoire National de Région de Bordeaux.
Richard Rimbert a créé à Londres Atlantic Trio de Joan Albert Amargos avec Stéphane Rougier (violon) et Hervé N’Kaoua (piano). Cette œuvre, couplée à celles de B. Bartók et I. Stravinski est enregistrée sous le label « La Nuit transfigurée ». Il est également un fervent défenseur de l’œuvre de Christian Lauba (Directeur artistique de l’ONBA de 2004 à 2006) dont il a créé Rituels pour clarinette solo, à Paris, Genève, Londres, Munich, Porto, Casablanca, Buenos-Aires et Tokyo. Richard Rimbert est Président de l’AAC (Association Aquitaine des Clarinettistes). Richard Rimbert est musicien de l’Orchestre National Bordeaux Aquitaine.
Maxim Vengerov est considéré comme l’un des plus brillants violonistes du monde. Né en 1974, Maxim Vengerov commence sa carrière à seulement cinq ans, remporte les concours internationaux Wieniawski et Carl Flesh respectivement à dix et quinze ans, a étudié avec Galina Tourchaninova et zakhar Bron, enregistre son premier disque à dix ans et sera amené à enregistrer pour les labels Melodia, Teldec et EMI, remportant Grammy et Gramophone artiste de l’année.
En 2007, il suit les pas de son mentor, Mitslav Rostropovitch et s’intéresse à la direction. Il est nommé en 2010, chef du Gstaad festival orchestra. Maxim Vengerov est diplômé par Yuri Simonov de l’institut d’Ippolitov-Ivanov à Moscou. Il suit ensuite un enseignement spécialisé de direction d’opéra et dirigera Eugene Onegine au théâtre Helicon de Moscou en décembre 2018.
Cette saison nous retrouverons Maxim Vengerov au Carnegie hall avec l’orchestre de Montréal et lors de la création d’un concerto au festival de Pékin et écrit pour lui par Qigang Chen. Il donnera également des series de recital en Europe, en Chine et aux Etats-Unis. Maxim Vengerov toujours soutenu les jeunes talents en occupant des postes d’enseignants partout dans le monde et est ambassadeur et professeur de Académie international Menuhin en Suisse (IMMA) et professeur à au Royal College of Music de Londres. En 1997, Maxim Vengerov devient le premier musicien classique à être nommé ambassadeur de bonne volonté de l’UNICEF. Il joue le violon Stradivarius ex-Kreutzer (1727).
Né à Paris en 1986, David Enhco commence la musique à 3 ans avec les percussions et le piano, puis adopte la trompette à 5 ans. Il étudie le classique, le jazz, et donne ses premiers concerts à 8 ans avec un groupe d’enfants. Dès l’âge de 16 ans, il est invité à jouer dans des formations allant du duo au big band en France et à travers le monde.
En 2008, Le Jazz et la Diva Opus 2, mis en scène par Alain Sachs réunit sur scène Didier Lockwood, Caroline Casadesus, Thomas Enhco et David Enhco (plus de 200 représentations et de 100 000 spectateurs). C’est aussi l’époque où commencent les tournées avec le Trio Casadesus-Enhco, avec Didier Lockwood, ainsi qu’une création avec Marie-Claude Pietragalla autour du texte La nuit des jeunes gens de Louis Aragon.
En 2010, il fonde The Amazing Keystone Big Band avec Bastien Ballaz, Jon Boutellier et Fred Nardin. Avec cet orchestre de 17 usiciens, il développe des spectacles tous publics : le premier en 2012, à Jazz à Vienne, est Pierre et le Loup… et le Jazz !, un conte musical raconté par Denis Podalydès. Ce sont alors 6000 enfants qui découvrent l’improvisation, les instruments et les différents styles du jazz à travers l’œuvre de Prokofiev. Le disque et le livre-disque de ce spectacle remportent de nombreuses récompenses. Suivent plus de 130 concerts entre 2013 et 2015, et notamment à Paris, au Théâtre des Champs-Élysées, avec une série de 10 représentations à guichets fermés. Suivront en 2015 Le Carnaval Jazz des Animaux raconté par Édouard Baer, en 2017 Monsieur Django et Lady Swing raconté par Guillaume Gallienne et Django Extended, en 2018 La Voix d’Ella raconté par Vincent Dedienne et We Love Ella. Il joue avec avec Quincy Jones, Stochelo Rosenberg, James Carter, Didier Lockwood, Cécile McLorin Salvant…
Parallèlement, David Enhco sort trois albums personnels avec son quartet, La Horde (2013), Layers (2014) et Horizons (2017), tous blébiscités par la critique. Il fait aussi de nouvelles rencontres musicales : Michel Portal au festival de l’Epau puis à l’Opéra de Lyon ; Laurent Naouri et Natalie Dessay au Théâtre des Champs Élysées, Cécile 3 McLorin Salvant pour une série de concerts en septet. Avec Caroline Casadesus et Thomas Enhco, il enregistre fin 2015 pour Hachette-Livre un disque de comptines pour enfants.
En 2017, il crée un nouveau groupe, Aksham, avec la chanteuse albanaise Elina Duni et le pianiste suisse Marc Perrenoud. Ils enregistrent un album en septembre 2018 qui paraîtra en février 2019. 2017 est aussi l’année d’un nouveau projet avec son quartet et une Maîtrise de 100 chanteurs (Maîtrises de la Loire, de Bretagne, de Caen…) pour lesquels il compose de la musique sur de la poésie française, à la croisée du jazz et du classique. En novembre de la même année, il se produit pour la première fois avec l’Orchestre National de France, sous la direction de son grand-père Jean-Claude Casadesus dans le 3ème mouvement du concerto de Haydn pour
l’émission Fauteuils d’Orchestre sur France 3. Tous les ans, David Enhco donne de nombreux concerts sur plusieurs continents avec son quartet, le Keystone Big Band, le Trio Casadesus-Enhco, Aksham et le duo Enhco Brothers qu’il partage avec son frère.
En 2018, David Enhco remporte deux Victoires du Jazz dans les catégories : Artiste qui monte et Groupe de l’année.
Né à Paris en septembre 1988, Thomas Enhco est un pianiste et compositeur de jazz et de musique classique. À l’âge de 3 ans, il apprend le violon et le piano, donne ses premiers concerts à 6 ans et écrit ses premières compositions. À l’âge de 9 ans, Didier Lockwood l’invite à jouer dans ses concerts aux festivals de jazz d’Antibes Juan-les-Pins, Vienne et Marciac. Il étudie ensuite le jazz au CMDL et le piano classique avec Gisèle Magnan. À 16 ans, il entre au CNSM de Paris et en est renvoyé deux ans plus tard. Son premier album, Esquisse, composé et enregistré à l’âge de 15 ans avec son trio et parrainé par le légendaire batteur Peter Erskine, sort en 2006. Thomas est alors lauréat du Fonds d’Action Sacem. En 2008, il est repéré par le producteur japonais historique Itoh « 88 » Yasohachi, qui lui fait enregistrer trois albums, (Someday My Prince Will Come, The Window and the Rain au Japon et Jack and John avec Jack Dejohnette et John Patitucci aux studios Avatar à New York) et l’invite pour une dizaine de tournées au Japon en solo, duo et trio.
En 2012, il s’installe à New York où il écume les clubs de jazz et multiplie les collaborations, et il sort cette année-là chez Label Bleu son album auto-produit Fireflies (Victoire du Jazz 2013). En 2014, il signe chez Universal Music et enregistre pour le label Verve son album piano solo Feathers (nommé aux Victoires du Jazz 2015 dans la catégorie « Album de l’année »). En parallèle de sa carrière de jazzman, Thomas Enhco évolue dans le monde de la musique classique depuis ses débuts.
En 2016, il publie chez le mythique label Deutsche Grammophon l’album Funambules en duo avec la percussionniste Vassilena
Serafimova. Leur duo explosif et sans frontière fait le tour du monde et remporte en 2017 le Deuxième Grand Prix au Osaka International Chamber Music Competition (Japon).
En 2017, il fait ses débuts comme soliste avec orchestre symphonique dans le Concerto en Fa et la Rhapsody in Blue de Gershwin, le Concerto n°24 de Mozart (K.491), le Concerto en Sol de Ravel, Eros Piano de John Adams, le Concerto pour Quatre Claviers de Bach
(BWV 1065), le Triple Concerto de Beethoven et dans son propre Concerto pour Piano et Orchestre, avec l’Orchestre de l’Opéra National de Lorraine, l’Orchestre de Pau Pays de Béarn, l’Orchestre Régional Avignon Provence, l’Ensemble Appassionato, le Geneva Camerata, l’Orchestre de Cannes, le Kyoto Symphony Orchestra, l’Orchestre National de France et l’Orchestre National de Bordeaux Aquitaine, sous la direction des chefs Julien Masmondet, Pierre Dumoussaud, Samuel Jean, Mathieu Herzog, Jean-Claude Casadesus, David Greilsammer, Junichi Hirokami, Benjamin Lévy, James Gaffigan et Fayçal Karoui. Il est également invité comme soliste par le Chœur de Radio France (dir. Sofi Jeannin) et le Chœur Spirito (dir. Nicole Corti) dans des programmes autour de Brahms et de ses propres compositions. Compositeur, Thomas Enhco a écrit plus de 100 œuvres et reçoit régulièrement des commandes d'orchestres, d’ensembles de musique de chambre, de solistes, de chœurs et de festivals.
Il a notamment composé un Concerto pour Piano et Orchestre et un Double Concerto pour Piano, Marimba et Orchestre (création février 2019) pour l’OPPB, quatre pièces pour la pianiste Lise de la Salle (album Bach Unlimited, Naïve 2017), une suite pour Quintette de Cuivres et Piano pour le Local Brass Quintet (album Stay Tuned, Klarthe 2019), une pièce pour Chœur et Piano pour le chœur Spirito… Il a également composé les génériques des émissions; La Récréation;Le Grand Atelier; sur France Inter, et deux bandes originales de film : Aux Arts Citoyens de Daniel Schick (2010) et Les Cinq Parties du Monde de Gérard Mordillat (pour lequel il remporte le FIPA d’Or 2012 de la Meilleure Musique Originale).
Juste avant ses 30 ans, Thomas Enhco enregistre pour Sony Music l’album Thirty, qui comprend sept nouvelles pièces en solo et son Concerto pour Piano et Orchestre. (Sortie février 2019 chez Sony Classical, concert parisien le 17 avril 2019 à La Cigale) Depuis dix ans, il donne en moyenne 100 concerts par an sur tous les continents. Parmi les scènes jazz qui l’invitent figurent les festivals de jazz de Tokyo, Montréal, Vienne, Montreux, Istanbul, Gent, Middelheim, North Sea, La Villette, l’Olympia… Et parmi les scènes classiques, les festivals de La Roque d’Anthéron, Piano aux Jacobins, la Philharmonie de Paris, l'Opéra de Bordeaux, Flagey à Bruxelles, French May à Hong Kong, Shanghai Grand Theater, Folle Journée de Nantes, Tokyo, Varsovie, New York, Mozarteum de Salzburg, Théâtre du Châtelet, Théâtre des Bouffes du Nord, Beijing Concert Hall…
La Philharmonie de Paris l’accueille régulièrement, autant comme jazzman que soliste classique, et lui offre une carte blanche au festival Jazz à la Villette 2017, le programme dans son week-end autour de Bach et comme soliste dans son propre Concerto ainsi que dans le Concerto en Sol de Ravel en 2018. En 2019, il participera à l’intégrale des Études pour piano de Philip Glass aux côtés du compositeur.
Il est l’invité des principales émissions de télévision et de radio françaises (C à Vous sur France 5, Quotidien sur TMC, Le Grand Echiquier, Fauteuils d’Orchestre sur France 2…) et ses enregistrements et concerts sont plébiscités par la presse nationale et
étrangère.
Passionné par la transmission, il donne des masterclasses sur l’improvisation, enseigne le jazz (piano et violon) au CMDL et rédige depuis 2018 la rubrique jazz du magazine bimensuel Pianiste. Thomas Enhco a remporté de nombreux prix et récompenses, parmi lesquels le 3ème prix du Concours International de Piano Jazz Martial Solal 2010, le Django d’Or 2010 « Nouveau Talent », le FIPA d'Or 2012 de la Meilleure Musique Originale, la Victoire du Jazz 2013 « Révélation » (aussi une nomination aux Victoires du Jazz 2015), le Deuxième Grand Prix au Osaka International Chamber Music Competition 2017, le Prix ACEG de la Sacem 2017.
Parmi les artistes avec lesquels il a travaillé, on peut citer (Jazz) : Didier Lockwood, Mike Stern, Kurt Rosenwinkel, Jack DeJohnette, Gilad Hekselman, José James, Baptiste Trotignon, Ari Hoenig, Patrick Zimmerli, Dan Tepfer, Ibrahim Maalouf, Emile Parisien, Vincent Peirani, David Enhco, Biréli Lagrène, Anne Paceo, Hugh Coltman, Peter Erskine, Daniel Humair, André Ceccarelli, Victor Lewis, John Patitucci, Hein Van de Geyn, Lew Soloff, Sylvain Luc, François & Louis Moutin, Joel Frahm, Cyrille Aimée…
(Classique) : Vassilena Serafimova, Henri Demarquette, Renaud Capuçon, Natalie Dessay, Laurent Naouri, Jean-François Zygel, Michel Dalberto, Anne-Sofie Von Oter, les quatuors Arod, Hanson, Modigliani, Voce, Beatrice Rana, Jérôme Pernoo, Caroline Casadesus, Lise de la Salle, Déborah Nemtanu, Xavier Philips…
Ainsi que les chanteurs Jane Birkin, Christophe, Oxmo Puccino, la danseuse et chorégraphe Marie-Claude
Pietragalla, le metteur en scène Alain Sachs, la dessinatrice Aurélia Aurita…
Depuis 2013, Thomas Enhco est accompagné dans ses projets par la Fondation BNP Paribas.
Né en 1993 à Bordeaux, Jacques Pérez découvre tardivement sa passion pour la musique. Il intègre à 15 ans le conservatoire Jacques Thibault de Bordeaux, où il étudie auprès de Tasso Adamopoulos et Frédérique Gastinel tout en poursuivant ses études de lycéen.
Bac scientifique en poche, Jacques décide de se consacrer pleinement à la musique, et obtient en 2012 son prix du Conservatoire de Bordeaux avec la mention Très Bien.
Il est admis la même année au Conservatoire National Supérieur de Musique de Lyon dans la classe de Françoise Gnéri, Nicolas Mouret et Dominique Miton. Il y étudie la musique de chambre auprès d’Agnès Sulem, Marc Danel, Zoltan Toth et Yovan Markovitch. Il y obtient son prix en juin 2017 avec la mention Très Bien.
Jacques s’est également formé pendant un semestre au sein de l’Université de Montréal au Canada auprès de Jutta Puchhammer.
Dans le cadre du programme d’échange Erasmus, il est invité en 2016 à étudier dans la classe d’Hariolf Schlichtig à la Hochschule für Musik und Theater de Munich.
Jacques a intégré en 2018 le cursus de Master specialized in performance- soloist dans la classe de Lawrence Power à la Zürcher Hochschule der Künste.
Passioné de musique de chambre, il est notamment invité lors du festival Alpenarte 2019 en Autriche, du festival des Monts de la Madeleine 2018, du festival de Bohinj 2018 en Slovénie, du festival Musique en Graves ainsi que des Concerts de la Visitation.
Il y joue en soliste ou en musique de chambre aux côtés d’artistes tels que Miriam Hels Ålien, Eivind Ringstad, Eva-Nina Kozmus, François Thirault, Stéphane Rougier, Ruña T’Hart, Vincent Balse…
Membre de l’Orchestre de Chambre de Lyon et de l’Orchestre Victor Hugo Franche-Comté, Jacques est également régulièrement invité par l’Orchestre National de Bordeaux Aquitaine.
Jacques Pérez est lauréat de l’édition 2015 du concours de prêt d’instrument Mécénat Musical Société Générale et a la chance de jouer un instrument de Philippe Mahu portant l’étiquette médaille d’or Mittenwald 2010.
Il est boursier des fondations ADAMI et Mécénat Musical Société Générale.
Catharine Lees, viola, maintains an active career as recitalist, chamber musician, pedagogue, and andragogue. Professor of Viola at the University of Cincinnati, College-Conservatory of Music (CCM) where she also served as Chairman of the String Department from 2009 – 2017, Dr. Lees was also the host chair of the 2010 International Viola congress and served as a member of the Artist/Faculty of the Aspen Music Festival and School and Principal Violist of the Aspen Chamber Symphony for 25 seasons. She is also coordinator of the event exchange agreement between Sookmyung Women’s University in Seoul, South Korea and CCM.
Dr. Lees has been featured on numerous occasions as soloist with the Aspen Chamber Symphony, CCM Chamber Players, Wired. Upcoming features include appearances with orchestras performing Mozart’s Sinfonia Concertante, and with the CCM Philharmonia in Strauss’ Don Quixote. As a chamber musician, she has collaborated with the world’s most prominent artists including Gil Shaham, Jaime Laredo, Sarah Chang, Alisa Weilerstein, Don Weilerstein, Vivian Weilerstein, Joseph Swensen, as well as members of the Tokyo, Cleveland, American, LaSalle, Ariel Quartets, and the Beaux Arts Trio. In addition, she has been featured in broadcasts on WGUC, WFMT, NHK Radio, CBS Sunday Morning, NPR, and WOSU.
Dr. Lees’ passion for teaching and the advancement of pedagogy/andragogy led to her collaboration with Dorothy DeLay resulting in Essentials for Viola, a book on basic technique widely used by students who have claimed top prizes in international competitions as well as those who have won positions in major symphony orchestras and universities in the United States, Asia, and Europe. Other publications include A Comprehensive Overview of Left Hand Technique for Violin and Viola and a forthcoming release of a relaxation recording for performers combating performance anxiety. Dr. Lees has presented annual master classes at the Aspen Music Festival and School, and Universities including Eastman School of Music, University of Michigan, University of Texas at Austin, Carnegie-Mellon, University of Memphis, Beijing Central Conservatory (China), Sookmyung Women’s University (Seoul, South Korea), Yeungnam University (Daegu, South Korea), as well as in Tainan and Taipei, Taiwan. In addition, she was featured at the 2014 American String Teachers Association Convention as well as at the 2011 International Viola Congress in Wurzburg, Germany.
As host chair of the 2010 International Viola Congress at the University of Cincinnati, College-Conservatory of Music, Dr. Lees featured 75 internationally acclaimed artists in master classes, recitals, chamber music, lectures, and two orchestra gala concerts. These highly renowned performers included Nobuko Imai, Kim Kashkashian, Tabea Zimmermann, Bruno Guirrana, Garth Knox, Paul Coletti, Lawrence Dutton, Samuel Rhodes, James Dunham, David Aaron Carpenter, Gil Shaham, Adele Anthony, Akira Eguchi, Eric Kim, Richie Hawley and many more.
Dr. Lees earned her Bachelor of Music, Master of Music and Doctorate of Musical Arts Degrees at the University of Cincinnati, College-Conservatory where she studied viola with Masao Kawasaki, violin with Henry Meyer, and chamber music with the LaSalle and Tokyo String Quartets. As a fellowship student of the Aspen Music Festival she received training in orchestral leadership with the concertmaster at that time of the Chicago Symphony Orchestra, Ruben Gonzales. More information regarding Dr. Lees’ philosophy of teaching and learning will be available at her new website, currently under construction.
Originaire de Nouvelle-Zélande, il a obtenu un baccalauréat de l’Université Victoria de Wellington, un Artist Diploma de la Hartt School of Music, et un doctorat en arts musicaux de l’alto et du violon de l’Université du Kansas.
Timothy Deighton est professeur d’alto musique de chambre, de pédagogie, à Penn State University et dirige la Penn State Viola Ensemble.
En 2002, Deighton a été reconnu comme le Maître de l’Année et en 2009, il a reçu le Prix d’enseignement exceptionnel. Ses anciens élèves occupent des postes dans des orchestres professionnels et sur les facultés des écoles de musique aux Etats-Unis et à l’étranger. Ses missions les plus récentes comprennent des master classes à travers les États-Unis, en Grande-Bretagne, et l’Amérique centrale. Ses articles ont paru dans des publications telles que le Maître American String, Journal de l’American Society Viola, le New York altiste, et le Journal de l’Australie et la Nouvelle-Zélande Viola Society. En 1999, il a organisé et dirigé “ViolaFest” à Penn State, impliquant plus de 200 altistes internationaux. Timothy Deighton a joué « en avant-première » plus de cinquante nouvelles œuvres pour alto, dont beaucoup ont été écrites pour lui. Son premier CD solo, fut « Aotearoa », mettant en vedette la musique pour alto des compositeurs de Nouvelle-Zélande. Son jeu sur ce disque a été décrit dans The Strad comme «brillant et différencié». Son duo « La Irrelevants », avec la saxophoniste Carrie Koffman a créé de nombreuses œuvres nouvelles. Timothy Deighton a collaboré aussi avec des musiciens de musique traditionnelle maorie (Taongo Puoro) dont Richard Nunns. Durant les étés, il enseigne à l’Institut Musical International des Arts à Freiburg. Il joue dans de nombreux festivals aux Etats- Unis, en Europe et en Australie.